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Introduction à la musique médiévale

Bien sûr, de larges pans du répertoire musical, en particulier les plus éloignés de nous, demeurent inconnus à jamais. Faute de pouvoir être écrites sur le parchemin, les œuvres les plus anciennes se sont irrémédiablement perdues.

Les chansons et musiques du moyen âge sont issues d’une tradition orale. La mémoire des troubadours n’étant pas infaillible, les chansons ont subi des transformations à travers le temps. De plus, l’interprète pouvait adapter la chanson à son goût, ou pour mieux plaire à son auditoire. Cette longue tradition orale explique en partie le grand nombre de versions qu’on possède des chansons.

La musique qui nous est parvenue est tout principalement religieuse et vocale. C’est celle qui était digne d’être fixée par l’écrit dès lors que le système d’une notation musicale s’est progressivement mis au point.


1- Chronologie

Sur une période d’environ 6 à 7 siècles, les moines occidentaux inventent progressivement un système de notation musicale qui permettra de fixer et de transmettre la musique par écrit. Le répertoire grégorien apparaît dans la seconde moitié du VIIIe siècle.

Peu avant Charlemagne, des moines musiciens eurent commencent à écrire des accents sur les textes en latin qui étaient chantés pendant les offices afin d’indiquer aux interprètes les endroits où la voix devait monter ou descendre. Ces aide-mémoire rudimentaires s’appellent les neumes (accents, virgules, points en marge des manuscrits)

Dès la fin du Xe siècle, on prit l’habitude d’utiliser une ligne horizontale (de la portée à 4 lignes), amorce de la future portée, comme point de repère. Une lettre appelée clef était inscrite au commencement de la ligne et en précisait la hauteur de son. A l’origine, ces clefs étaient écrites en lettres ordinaires puis elles se stylisèrent. La clef de sol que nous connaissons aujourd’hui n’est autre que le résultat transformé de la lettre G enluminée et décorée.

A partir du XII siècle (1170 et 1250.), l’école de chant de Paris rayonne dans tout l’univers de la chrétienté occidentale par la qualité des chanteurs et leur créativité musicale, c’est l’émergence de la polyphonie. On peut noter l’apparition d’instruments de musique dans la musique sacrée.

Les neumes se transforment en signes carrées : Autour de la ligne de repère initiale apparaissent les premières notes. Elles avaient la forme de petits carrés noirs placés au dessous, au dessus ou à cheval sur la ligne. Progressivement ces notes, toujours carrées, adoptent des formes et des couleurs particulières qui permettent d’en définir la durée

La polyphonie devient prépondérante, tant et si bien qu’au début du XIVe siècle, le pape Jean XXII promulgue une décrétale Docta Sanctorum (1325) pour supprimer le motet et la polyphonie, au prétexte que cette musique, loin de porter à la dévotion et à la foi, enivre les oreilles. Mais cette décrétale restera sans effet.


2- Troubadours, Trouvères et Jongleurs

Le troubadour est un auteur compositeur, tandis que le jongleur exécute les compositions des troubadours. Toutefois, un jongleur peut aussi être troubadour s’il possède du talent pour la création

L’innovation des troubadours a été suivie de la Catalogne à l’Italie du nord, du Portugal à la Hongrie. Puis sont apparus les trouvères au nord de la France, et ensuite, les Minnesänger de l’Allemagne.

Le Moyen Age voit également s’opérer de profonds changements linguistiques : on passe du latin classique à l’ancien français, après une période de transition par le roman

2-1/ Les troubadours et les trouvères : auteurs et compositeurs en langues d’Oc et d’Oïl

Les troubadours et trouvères appartiennent à des milieux sociaux variés. Certains sont issus de grandes familles, quelques-uns sont rois, d’autres sont d’origine plus modeste et se sont élevés au rang de troubadours. Ils jouissent parfois d’un grand prestige. La plupart possèdent une vaste culture et voyagent beaucoup.

- Les troubadours et la langue d’oc

Le mot « troubadour » appartient à la langue d’oc : il désigne les poètes du Sud de la Loire. Les troubadours sont des poètes lyriques qui accompagnent leurs poèmes de musique. Ils exercent leur art auprès des grands seigneurs du sud de la France, entre la fin du XIe siècle jusqu’à la fin du XIIIe siècle.

- Les trouvères et la langue d’Oïl

Les trouvères sont des poètes, chanteurs et également des jongleurs du nord de la France Ils utilisent la langue d’oïl et sont originaires du nord de la Loire

- L’amour courtois

La fin’ amor est une conception des relations amoureuses et courtoises entre le poète et la dame (la domna comme elle est nommée par les troubadours) dont le rang social souvent plus élevé que celui du poète en fait un objet d’idéalisation et de désir inaccessible. C’est aussi un jeu galant codifié qui devait éprouver la fidélité du prétendant pour sa dame. L’amour courtois se développa pour répondre à des règles très précises, finalement codifiées par plusieurs arrêts pris à la cour d’Aliénor d’Aquitaine qui joua un rôle considérable dans la diffusion de l’idéologie de l’amour courtois

2-2/ Quelques troubadours et les trouvères célèbres

- Gautier de Coincy (v. 1177-1236) : trouvère français

La réputation de ce trouvère originaire de la région de Soissons est fondée surtout sur les Miracles de Notre dame, un important recueil de chansons profanes destinées à honorer la Vierge.

- Léonin (XIIe siècle) ou Magister Leoninus

Maître incontesté de l’Ars antiqua, il est avec Pérotin le représentant de l’Ecole de Notre-Dame.

- Pérotin (1160 – 1230)

Surnommé le Grand, né vers 1160 et mort vers 1230, c’était un compositeur français. Au début du XIIIe siècle, il révise le Grand Livre d’organum, attribué à Léonin. Vers 1200, il compose des œuvres à trois ou quatre voix, ce qui constitue une étape importante dans le développement de la polyphonie

- Adam de la Halle (v. 1240 - v. 1287) : trouvère français

Surnommé « Le Bossu d’Arras », l’Arrageois Adam de la Halle est considéré comme le trouvère le plus important de son époque. Banni de son pays natal, il suit le comte d’Artois en qualité de ménestrel à Naples. C’est là qu’il écrit « Le jeu de Robin et Marion », une pièce de théâtre chantée. Adam de la Halle a composé aussi des chansons, des motets et des rondeaux.

- Philippe de Vitry (1291-136)

Ce compositeur et théoricien français était aussi un diplomate de carrière. Son célèbre traité « Ars nova musicae » expose les principes de la révolution musicale qui s’opère en France.

- Guillaume de Machaut (v. 1300-1377)

Ce poète, musicien et ecclésiastique est aussi diplomate à la cour de Charles Quint. C’est un grand maître de l’Ars nova.
- Vers 1323, il entre au service de Jean de Luxembourg, roi de Bohême.
- 1347 Guillaume de Machaut est au service de Bonne de Luxembourg, épouse de Jean de Normandie, futur roi de France (Jean le Bon).
- 1350 Guillaume de Machaut est au service de Charles II le Mauvais, roi de Navarre.

Dans le domaine de la musique religieuse, Machaut a composé Le Hoquet David et quelques Motets latins, mais c’est incontestablement la Messe Notre-Dame qui est sa pièce maîtresse

- Guillaume Dufay (1400-1474)

Le compositeur franco-flamand Guillaume Dufay est né vers 1400 peut-être à Cambrai ou Fay près de Cambrai.


3- Notions musicales

3-1/ Evolution musicale – grandes lignes

- Chant grégorien

Appelé également chant ecclésiastique ou plain-chant, c’est le chant de la liturgie catholique romaine dont les textes sont extraits des saintes écritures. Le chant grégorien est monodique (tous les moines chantent à l’unisson), et sans accompagnement instrumental. Le chant grégorien est indissociable de la langue latine. Il est répandu en Occident à la fin du VIIIe siècle

> Il est uniquement chanté par des voix d’hommes > Il est chanté « A cappella » c’est à dire sans aucun accompagnement > Il est chanté à l’unisson. Il n’y a qu’une seule ligne mélodique

- L’école de Notre-Dame : naissance de la polyphonie

L’École de Notre-Dame est un groupe de compositeurs ayant exercé à Paris entre 1170 et 1250. Mais le mouvement a influencé pendant deux siècles le destin de la musique dans toute l’Europe. On attache ce nom au développement de la polyphonie.

Le XIIème siècle voit donc l’organisation et la formalisation de la polyphonie. Les principales formes rencontrées à cette époque sont : l’organum, le déchant, le motet, le conduit.

- L’ars antiqua : L’ars antiqua (art ancien) signifie l’apogée de la première polyphonie au XIIe et XIIIe siècle

C’est une période de transition entre l’école de Notre-Dame et l’Ars Nova, du milieu du XIIIe siècle à 1320, la cathédrale de Paris perdit sa suprématie musicale. La polyphonie avait gagné l’Europe entière, et d’autres centres musicaux se montraient bien plus actifs.

- L’ars nova : Un nouveau système de notation

L’époque de l’Ars nova couvre à peu près les années 1320 à 1380. Cette période sera l’âge d’or de la polyphonie

Philippe de Vitry (1291-1361) écrit un traité sur l’Ars Nova (vers 1325) qui devient célèbre et déclenche un nouveau mouvement musical.

Les nouveautés concernent essentiellement la notation et la rythmique. Les notes sont pleines ou évidées, rouges ou noires, ceci afin d’améliorer la lecture de leur durée. Apparaissent également la syncope (rythme), et le contrepoint (différentes voix qui peuvent être entendues simultanément).

- L’école franco-flamande : la première Renaissance

Ce style est élaboré par musiciens du XVe et du début du XVIe siècle, originaires de la Bourgogne, du Luxembourg, des Pays-Bas, du Nord de la France, de Belgique et de Bourgogne.

3-2/ Quelques notions

- Quelques notions de Solfège

A partir du IXème siècle, on commence à noter au dessus des textes chantés des signes permettant au chantre de « retrouver » une mélodie primitivement mémorisée « d’oreille », mais sans indications précises des intervalles ou de la hauteur des notes. On les appelle les neumes.

Vers 1030, on attribue généralement au moine bénédictin Gui d’Arezzo la paternité du nom des notes défini à partir de la première syllabe d’un chant que les moines adressaient à Saint Jean.

Le "si" n’est nommé qu’à la fin du 16ème siècle grâce au moine français Anselme de Flandres.

Le "ut" deviendra "do" au 17ème siècle, sans doute pour une plus grande facilité de prononciation dans le chant.

Le diapason, petit instrument de métal permettant d’obtenir un La vibrant à 440 hertz par seconde, ne date effectivement que du début du XIXe siècle. Il n’existait auparavant pas de système permettant de faire en sorte que tout le monde chante exactement une même mélodie à la même hauteur ou bien de point de référence pour le réglage de la hauteur des instruments, on parle alors de système basé sur des "hauteurs relatives"

- Quelques Formes mélodiques http://fr.wikipedia.org/wiki/Solf%C3%A8ge_et_modalit%C3%A9

  • Le mouvement oblique — lorsqu’une voix monte ou descend, pendant qu’une autre, simultanément, reste en place — est le procédé harmonique le plus ancien : son origine étant très certainement antérieure au Moyen Âge
  • Le mouvement parallèle : lorsque deux voix évoluent simultanément en produisant deux intervalles de même chiffre et de même sens. Lorsque l’intervalle séparant les deux mélodies est une quinte ou une quarte, le procédé est appelé organum — Xe et XIe siècles. Lorsque cet intervalle est une tierce ou une sixte, le procédé est appelé gymel ou faux-bourdon — XIe et XIIIe siècles
  • Le mouvement contraire est découvert a partir du XIIe siècle — lorsque simultanément, une voix monte, tandis que l’autre descend —, les différentes parties deviennent véritablement indépendantes : c’est la naissance du contrepoint. Avec le contrepoint, l’accord — au sens classique et vertical du terme — est obtenu empiriquement par adjonction successive des mélodies. Il n’est pas considéré comme une entité en soi

- Style musicaux

  • Organum (9 – 12 siècle) : Généralement considéré comme le stade le plus primitif de la polyphonie
  • Organum parallèle (9 -11 siècle) : Deux voies séparées par des consonances parfaites parallèles : quarte ou quinte et octave justes
  • Déchant (11 siècle) : La voix principale de l’organum se trouve en bas, et la voix organale, appelée « déchant », donne son nom à ce second procédé. On assiste aux premières tentatives de mouvement contraire
  • Organum fleuri (À partir du 12 siècle) : Désormais, la voix principale, toujours en bas et appelée appelé teneur (qui donnera notre moderne ténor) — réalise le thème grégorien en valeurs longues. Il peut y avoir plusieurs voix organales : lorsqu’il n’y en a qu’une seule, on parle de duplum, lorsqu’il y en a deux, on parle de triplum, lorsqu’il y en a trois, on parle de quadruplum, etc On constate l’apparition des tierces et des sixtes comme consonances imparfaites Le XIIe siècle, avec l’école de Notre-Dame, marque l’apogée de l’organum, qui sera progressivement remplacé par le conduit et le motet au XIIIe siècle.
  • L’estampie : (12 siècle) : Danse chantée très rythmée où l’on accompagne la musique en tapant du pied. Son origine est allemande : stampjan qui signifie « frapper le sol avec les pieds »
  • La chanson de toile (12-13 siècle) : C’est une chanson à filer, broder, tisser qui présente une amoureuse à son métier à tisser ; celle-ci se lamente sur la mort de son amoureux ou son entrée au couvent. Exemple de chanson de toile : Belle Doette (XIIe siècle)
  • Motet (13 siècle) : Le motet est dérivé du procédé de l’organum à l’origine de la polyphonie Ce genre musical à deux voix atteignit son apogée à la fin du XIIe siècle, Pendant la deuxième moitié du XIIIe siècle, le motet devint la forme principale de la polyphonie en Europe Rondeau : Le rondeau est une forme musicale à refrain. Apparu au XIIIe siècle Aux XIVe et XVe siècles, il fut l’une des trois formes poétiques (avec la ballade et le virelai) utilisées pour les chansons.
  • Les chansons de geste (11-15 siècle) : Dès le XIe siècle, des poèmes épiques, les chansons de geste, racontent les aventures de chevaliers pendant des événements historiques C’est l’idéal de la société féodale qui est en fait mis en scène
  • Gymel (13 - 15 siècle) : Genre ancien de polyphonie propre à la Grande-Bretagne Elle comportait deux parties vocales constamment maintenues à la tierce ou à la sixte
  • Canon : La forme du canon n’était pas rare, surtout dans des chansons de chasse (au sens le plus large), connues en France sous le nom de « chace » et en Italie sous celui de caccia. (Ars nova )

4 – Œuvres et pièces

4-1/ Adam de la Halle - Li gieus de Robin et de Marion :

Pièce pastorale. On y voit figurer dix personnages, Robin, Marion, un chevalier, six bergers et une bergère. Le chevalier rencontre Marion et cherche à la séduire mais il perd son temps et ses paroles, et se retire fort peu satisfait. Arrive Robin, à qui son amie apprend tout : le pauvre berger, craignant le retour de son rival, court appeler d’autres bergers qui s’arment de bâtons. Cependant le chevalier revient, insulte Robin, et emmène de force Marion, que son amoureux n’ose défendre ; elle se délivre enfin elle-même, de l’importun chevalier, et, après divers jeux et divertissements, la pièce se termine par le mariage de Robin avec Marion.

4-2/ Adam de la Halle - Le Jeu de la Feuillée ou Feuillie (Jeu Adam) : Drame satirique du XIIIe siècle

4-3/ Guillaume de Machaut - Hoquet David : (ou Hoquetus David)

4-4/ Guillaume de Machaut - MESSE NOTRE-DAME :

4-5/ Carmina burana

Cet important recueil est constitué d’un ensemble de chansons à boire et à jouer consignées au XIIIe siècle. Carmina Burana signifie « les poèmes de Bura (ou Poèmes de Beuren ) » du nom de l’abbaye bénédictine en Allemagne où le manuscrit était conservé.

Il s’agit de la compilation, partiellement notée en neumes et réalisée entre 1225 et 1250, de chants profanes ou religieux composés en allemand, en français ou en latin, par les goliards. le manuscrit comporte des chansons d’amour, des chansons à boire et à danser ainsi que des pièces religieuses.

4-6/ Cantigas de Santa María

Rédigé pendant le règne du roi de Castille Alphonse X dit El Sabio ou Le Sage (1221-1284), il s’agit d’un recueil de plus de 400 chansons monophoniques, composées entre 1250 et 1280 environ, et aujourd’hui conservées dans quatre manuscrits. Les textes des 427 chansons sont écrits en galaïco-portugais On y trouve en outre de nombreuses représentations en couleurs de musiciens jouant une grande variété d’instruments de musique.


5- Instruments et influence

La musique religieuse étant principalement vocale, peu d’instruments en dehors de l’orgue sont employés dans les églises

Pendant le moyen âge, apparaissent simultanément en Europe des instruments de musique inconnue. Rapportés d’Orient par les Croisés, ces instruments à cordes frottées, ces hautbois primitifs et ces percussions orientales donneront naissance aux ancêtres des instruments actuels de l’orchestre et permettront diverses compositions destinées à la danse.

5-1/ Les instruments de musique à cordes :
- Le monocorde
- La harpe
- Le luth
- La guitare sarazine ou maurache
- La chifonie
- La vièle à archet

5-2/ Les instruments de musique à vent :
- La trompette ou busine
- L’olifan ou cornet
- La chalémie
- Les flûtes droite et traversière
- La cornamuse
- L’ orgue

5-3/ Les percussions :
- Les tambours
- Les sonnailles
- De nombreuses petites percussions sont utilisées
- Cymbales
- Sistres
- Grelots
- Crotales
- Castagnettes
- Crécelle
- Guimbarde


Liens

- Généralités :

http://membres.multimania.fr/magnier/musique.html

http://pagesperso-orange.fr/jpchorier/introductionalamusique/moyenage12.html

- Troubadours :

http://medieval.mrugala.net/Musique%20medievale/La%20musique%20medievale%20des%20jongleurs%20et%20des%20troubadours.htm

- Guillaume de Machaut :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_Machaut

- Ecole notre dame :

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Notre-Dame_de_Paris_%28musique%29 (Wikipédia)

- Cantigas de Santa Maria :

http://brassy.perso.neuf.fr/PartMed/Cantigas/CSMIDI.html

http://www.pbm.com/ lindahl/cantigas/

http://marcel.arnoux.free.fr/LES%20CANTIGAS%20DE%20SANTA%20MARIA.html

http://www.3to4.com/Cantigas/e_index.html

- Partitions, midi et MP3 :

http://sca.uwaterloo.ca/Hendricks/

http://www.resonant.com.au/Medieval/index.html

http://www.strangelove.net/ kieser/Medieval/Music/

http://maucamedus.net/midi-index-e.html

http://www.spielleyt.de/musik.htm

http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/partitions.html

http://edmusica.chez.com/page4.html

http://www.fortunecity.com/tinpan/ash/603/medieval.html

http://brassy.perso.neuf.fr/PartMed/Partmed.html

http://pascal.premier.free.fr/Pascal/part_accueil.htm

http://maucamedus.net/midi-index-e.html

http://solinitorem.free.fr/chants.htm

- Textes :

http://pt.wikisource.org/wiki/Categoria :Cantigas_de_Santa_Maria Mp3 gratuit :

http://www.lastfm.fr/music/Trouvere/_/Des+oges+mais Midi

http://brassy.perso.neuf.fr/PartMed/Cantigas/ Icono :

http://medieval.mrugala.net/Enluminures/Cantigas%20de%20Santa%20Maria/

- Notions musicales :

http://www.larousse.fr/encyclopedie/article/Le_langage_musical_m%C3%A9di%C3%A9val/11005731

http://www.acim.asso.fr/spip.php ?article89

http://medieval.mrugala.net/Musique%20medievale/Origine%20du%20nom%20des%20notes%20de%20musique.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/Solf%C3%A8ge_et_modalit%C3%A9 (Wikipédia)

- Liens divers :

http://www.acim.asso.fr/spip.php ?article89

http://www.acim.asso.fr/spip.php ?article35&var_recherche=amour%20courtoie

http://www.crdp-montpellier.fr/produits/petiteshistoires/communs/docpp/PP-MUS-MED-%20La%20musique%20m%C3%A9di%C3%A9vale.pdf

http://vesubiales.free.fr/musique-medievale.htm

- Forums :

http://musiques-medievales.aceboard.fr/

Page publiée le 16 avril 2010 par nailo .
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